Un parc à vocation culturelle

À partir de 1958, l’aménagement du quartier de La Défense mené par l’EPAD (Établissement public d’aménagement de La Défense) est dessiné selon les préceptes d’un urbanisme fonctionnaliste où chaque espace de la ville correspond à 4 activités majeures : habiter, travailler, cultiver le corps et l’esprit et circuler. Dans cette planification urbaine du quartier de la Défense, qui est alors bien plus vaste que l’actuel quartier, André Malraux, ministre d’État chargé des Affaires culturelles, décide de la création d’un vaste ensemble culturel. Il comprend un musée du XXe siècle, un conservatoire supérieur de musique, une école d’architecture, une école de cinéma et de la télévision, et une école nationale des arts décoratifs. Autour de ce bâtiment, un parc d’une vingtaine d’hectares doit accompagner cet ensemble architectural.

Le projet culturel

Au début des années 1960, le projet d’exposition universelle à La Défense n’aboutit pas, alors des terrains sont mis à la disposition du ministère des Affaires culturelles, qui a pour ambition d’y faire construire un musée du XXe siècle, ainsi que quatre écoles d’arts.

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L'école d'architecture

Pensée comme un prolongement du parc André-Malraux, l’école d’architecture de Jacques Kalisz se veut innovante et modulable et propose une vision singulière de l’architecture.

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Le théâtre des Amandiers

D’abord associé à la Maison de la Culture de Nanterre, le théâtre des Amandiers s’installe aux abords du parc André-Malraux en 1976. En 1981 il fonctionne de façon indépendante de la Maison de la Culture, avec à sa tête Patrice Chéreau.

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